La tendance de ceux qui restent sur place est de se regrouper par affinités et de « parler d’autre chose que de son travail avec ses collègues ».
- Mon expérience dans cette option se caractérise par deux constats :
1) Les centres d’intérêts que je croyais universels (la Nature, les Arts, l’actualité…), ne sont pas universels !
La politique est un sujet qui pourrait sembler d’intérêt général, mais tout le monde ne se sent pas concerné !
On peut aussi parler foot ou rugby, mais là c’est moi qui décroche !
2) Il est presque impossible de parler d’autre chose que du travail avec la plupart de ses collègues. Même en commençant sur le thème de « la recette de la soupe à l’oignon ».
Les sujets de discussion sont souvent : les conditions de travail, la couleur du temps, la consommation ou la télévision. Le travail est un sujet récurant ; le management, les salaires et bien sûr : le temps de travail et les horaires…
Deux heures pour manger, bavarder, dormir ou bien marcher le long du Canal du Midi… |
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