Épilogue
Je retrouve maintenant les feuilles mortes accumulées
dans l’eau qui m’avaient inspiré cette réflexion.
Un an déjà que je regarde passer les bateaux.
Je savais qu’un jour je sauterais dans l’un d’eux
pour prendre le large et que je ne finirais peut-être pas
cette réflexion.
Il en est passé, de l’eau sous les ponts du Canal. |
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