• Échos souriants
Lorsque le soleil d’automne réchauffe doucement la peau durcie par la fraîcheur des matins d’octobre, un bienêtre oublié, ressurgit des profondeurs de la conscience ; une nouvelle harmonie s’instaure entre le corps et la nature.
Ce bonheur mi-humain mi-végétal trouve un point d’équilibre spirituel et physique à la fois.
C’est un peu comme de prendre un bain à 37° exactement ; une symbiose entre la chair et l’eau.
Ce phénomène libère l’esprit du corps.
L’esprit vagabonde ainsi dans les airs porté par la sensibilité.
Le parfum des peupliers se répand dans les souvenirs flous, parlant du temps qui passe et qui revient toujours.
Les points de lumière qui brillent sur les bords des feuilles, tombées à l’eau, forment un halo et tendent de grands fils blancs qui transpercent le miroir de la surface.
En haut, l’écorce jaune des branches est zébrée par des reflets clairs qui virevoltent gracieusement, portés par la lumière diffuse. |
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Forces
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