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C’est un « vert-pré », dirait le peintre, mais un « vert-pré » qu’il n’est pas possible de peindre.
J’ai essayé les belles nuances de ma palette : vert Véronèse, vert Japonais, vert pomme, olive, ou vert bouteille.
Peine perdue, la jeune chlorophylle associée à la lumière du printemps est assurément plus mystérieuse que toutes les chimies et toutes les physiques.
Ce vert là n’est pas humain ! |