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- En marchant, la vision est ponctuelle ; le but est de réfléchir, de synthétiser. Le contact avec la nature est intellectuel, la vision aussi ; c’est une vision personnelle, imaginaire, intime, avec des sensations de temps figé et d’espace clos.
On gère ses idées, ses impressions, sa philosophie. On regarde l’herbe pousser, l’arbre, la feuille, le reflet dans l’eau ; On n’y va pas, on y est déjà !
Le corps et l’esprit : la piste pour courir, l’eau pour réfléchir. |